Prix Louise-Weiss 2017

Europe

Lauréats 2017

Les lauréats révélés

Crédit photo : Catherine Schröder - Unistra De gauche à droite : Suzon Lejeune (2e prix), Sébastien Laussel (Prix du Jury), Représentant de Morgane Chovet (1er prix), jean Masson, et Tristan Kopp (3e prix)

Les lauréats du Prix Louise-Weiss, concours de littérature de l’Université de Strasbourg ont été récompensé vendredi dernier au Collège doctoral européen de l’Université de Strasbourg en présence de Michel Deneken, président de l'Université de Strasbourg, Mathieu Schneider, vice-président Sciences en société de l'Université de Strasbourg, l’équipe du Prix Louise-Weiss, et de l’écrivain Jean-Yves Masson, parrain de cette édition.

Le prix Louise-Weiss est un concours de littérature ouvert à tous organisé par l’Université de Strasbourg. Cette année, les candidats ont composé sur le thème de l’Europe.

  • Le 1er prix (1000 euros) a été décerné à Morgane Chovet, étudiante en 3e année d’Institut d’études politique, pour son titre A ta rencontre ;
  • Le 2e prix (800 euros) revient à Suzon Lejeune, étudiante en master 2 de géographie environnementale avec Chez moi, décider, c’est interdit;
  • Le 3e prix (500 euros) a été remis à Tristan Kopp, étudiant en Licence 1 de lettres et en Master 1 d'études théâtrales, pour Est-ce un Rêve Oublié Par Endroits ?;
  • Enfin, le Prix du jury (750 euros) a été remporté par Sébastien Laussel, étudiant en licence de théologie avec La disparition.

A propos de Jean Masson

Jean-Yves MASSON, né en 1962, est romancier, poète, critique littéraire, traducteur et éditeur. Il a obtenu la Bourse Goncourt de la Nouvelle en 2008 pour son recueil de nouvelles Ultimes vérités sur la mort du nageur (éd. Verdier). Ses derniers livres publiés sont L’incendie du théâtre de Weimar (roman, éd. Verdier, 2014) et La Fée aux larmes (conte, éd. de la Coopérative, 2016). Traducteur d’allemand (Rilke, Hofmannsthal, Stifter, Lasker-Schüler…), d’anglais (on lui doit une Anthologie bilingue de la poésie irlandaise parue aux éditions Verdier ou encore la traduction de l’œuvre poétique complet de W. B. Yeats chez ce même éditeur) et d’italien (Mario Luzi, Pétrarque, Giorgio Caproni, Roberto Mussapi, Leonardo Sinisgalli…), il dirige depuis 1991 la collection de littérature allemande des éditions Verdier (« Der Doppelgänger », 60 titres au catalogue) et travaille en ce moment à un essai sur l’art de la traduction. De 2003 à 2013 il a tenu une chronique mensuelle sur la poésie contemporaine dans le Magazine littéraire, auquel il continue de collaborer régulièrement.

Photo des lauréats (crédits : Catherine Schröder - Unistra)